L'Oriège P1

La partie haute de l'Oriège qui court dans un paysage bien verdoyant. Les deux grandes attractions, outre le parcours en lui même, sont les deux passages clé qui penchent sérieusement... Parcours à faire lorsque l'Oriège est bien grasse et que les tuyaux d'EDF ne peuvent pas tout capter. Lors de notre descente, nous avons eu beaucoup d'eau, le topo est donc fait en conséquence. Avec moins d'eau il se peut que les gros passages soient trop mal pavés et impraticables.

Pente continue

Importante sur l'ensemble du parcours. Enorme sur les deux passages 5+.

pour l'embarquement prendre une route qui monte sur la gauche dans Orlu et aller jusqu'au parking du fonf. Pensez à repérer le débarquement en amont du canyon. Le plus gros passage est visible depuis la route qui se met à pencher sérieusement après le lacet.

Ah l'Ariège!

La route n'est jamais bien loin. A la fin on est dans le parc acrobranche à proximité du parc aux loups.

non

Ça dépend si vous passez les gros passages qui demandent études, réflexion et sécu aussi. Compter entre 2h et 3h

Ça enchaîne tout du long. Attention à une passerelle basse juste après l'embarquement. Attention aussi aux fils tendus en travers de la rivière. On arrive rapidement au premier rapide: la Madre. C'est un long, très long, enchaînement extrêmement pentu avec des lignes pas simples. Ensuite, ça continue toujours dans le pentu, jusqu'à ce qu'on arrive au canyon d'Orlu, qui sera forcément infran si vous pouvez naviguer au dessus. Nous étudions toujours la possibilité d'en faire la fin en kayak mais avec un petit niveau, à voir... Il est conseillé de repérer le débarquement avant car le stop n'est pas donné. Le portage s'effectue en rive gauche à travers le parc acro branche à proximité du parc aux loups. Evitez de vous tromper de chemin et de finir dévorés comme une brebis égarée. Une fois là, on réembarque là où bon nous semble, soit en amont du deuxième gros passage, soit en aval. Là encore c'est un long enchaînement qui penche dru, les sécus ne sont pas de trop car certains seuils rappellent bien. Une fois en bas le mieux est de continuer sur la classique qui pour le coup risque d'être bien volumineuse. A ne pas manquer.

mai 2009 avec Sergei, les frêres Brelou, Julien Fresse et Phil Bro